Après avoir joué à de nombreux JRPG de Square Enix sur des plateformes mobiles, je n’ai pas immédiatement réalisé à quel point il était remarquable de jouer à un titre comme Dragon Quest Monsters: The Dark Prince sur mon iPad. Cependant, en investissant plus de temps dans ce dernier volet de la franchise, j’ai découvert à quel point l’expérience de jeu peut être agréable sur une tablette et à quel point elle est adaptée au format mobile.
Dans la lignée des titres précédents de la franchise dérivée, Dragon Quest Monsters: The Dark Prince s’articule autour de l’art de capturer et d’entraîner des monstres. Assez différent de Pokémon, il favorise un sentiment de partenariat avec les créatures, comme si vous travailliez à leurs côtés plutôt que de les élever simplement comme des instruments de combat. Le récit complète également intelligemment l’histoire entourant Psaro et Dragon Quest IV, présentant de nouvelles révélations et motivations pour un personnage que nous avons fini par considérer comme un méchant potentiellement sympathique au fil des ans, établissant ainsi une base solide dès le départ.
L’une des caractéristiques marquantes de Dragon Quest Monsters: The Dark Prince est sa présentation visuellement attrayante sur iPad, ce qui en fait l’un des JRPG prometteurs de Square Enix pour les appareils mobiles. Bien qu’il y ait eu des problèmes de texture dans la variante PC, même ma tablette de cinq ans gère le jeu sans problème, ce qui est plutôt rassurant ! Le jeu maintient ses performances même avec de nombreux monstres affichés simultanément à l’écran. Le style artistique classique de Dragon Quest y contribue grandement, ainsi que les décisions de conception qui mettent l’accent sur une esthétique dynamique.
Cependant, ce qui m’a vraiment impressionné, c’est la façon dont les mécanismes de jeu de Dragon Quest Monsters : The Dark Prince s’adaptent parfaitement au format mobile. Bien que le style de combat et de jeu diffère de celui de Pokémon, il conserve cette attrait de capture de monstres qui maintient les joueurs engagés. Le défi de découvrir de nouveaux monstres pour votre équipe, d’améliorer leurs capacités et de progresser dans le jeu est vraiment captivant. De plus, j’adore collectionner les personnages dans ce genre de jeux, et mon penchant pour les Slimes transforme mon jeu en un délicieux « moment de slime », d’autant plus que j’ai envie d’un Goonache Goodie et que je trouve le Scallop Slime et l’Onion Slime tout à fait adorables.
Bien que n’étant pas parfaite, l’expérience mobile est plutôt bonne. L’utilisation d’une manette m’a manqué, même si les commandes tactiles de Dragon Quest Monsters: The Dark Prince sont plutôt efficaces. J’ai rencontré quelques problèmes de fréquence d’images lors de certaines attaques ou lorsque plusieurs personnages étaient visibles en même temps, mais ces cas sont typiques des adaptations mobiles de JRPG. Personnellement, je préfère jouer en solo hors ligne pour ces titres, donc l’absence de batailles en ligne n’était pas un inconvénient pour moi, même si cela pourrait l’être pour d’autres.
Dragon Quest Monsters: The Dark Prince est le type de RPG mobile auquel je reviens sans cesse. Je me retrouve souvent à jouer pendant de courtes périodes de 15 à 30 minutes, à m’adonner à l’aventure et à la capture de monstres. J’apprécie la conception des personnages et je suis souvent enthousiasmé par mes récentes découvertes avant de me replonger dans d’autres jeux. C’est un titre pratique à avoir pour jouer en déplacement.
Vous pouvez obtenir Dragon Quest Monsters: The Dark Prince sur diverses plateformes, notamment la Nintendo Switch, le PC et les appareils mobiles.
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